Gare-Parc

La gare de Quimper fait peau neuve mais ne part pas de zéro. C’est justement toute la richesse du projet. Comment profiter d’un chantier d’aménagement de 5 ans pour partir à la recherche de l’identité d’un quartier ? Quelles traces/témoignages restera-t-il de cette enquête dans la nouvelle gare de Quimper pour qu’elle soit davantage appropriée par ses usagers et ne soit pas perçue comme un objet nouveau dans la ville ?

Jean-Jacques Banide a été missionné par la ville de Quimper pour documenter par la photographie les différentes étapes du chantier du PEM permettant ainsi de communiquer sur le projet. En parallèle, il travaille avec Cuesta sur un travail artistique : un dispositif photographique de portrait qui permet d’humaniser un quartier méconnu et un projet complexe d’aménagement qui peut apparaitre comme très technique et opérationnel pour les quimpérois.

Il valorise trois communautés d’acteurs qui font exister la gare et son quartier :

Ceux qui accueillent : les commerçants
Ceux qui le construisent : les ouvriers
Ceux qui le traversent : les voyageurs

Les photographies sont partagées par extrait au fur et à mesure de l’avancée du projet sur différents supports :
-à l’Embarcadère, la maison du projet Gare-Parc via des expositions
-dans la Gazette (journal de bord du projet Gare-Parc diffusé à 5000 exemplaires dans le quartier de la gare et dans divers équipements de la ville)
-par une édition de cartes postales, diffusée dans les présentoirs chez les commerçants
-sur les supports numériques du projet Gare-Parc et de la ville